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jeudi 10 août 2017 à 4h44

Markham & Read annonce le versement de 600 000 dollars, sur décision de jury fédéral, à l'homme d'affaires d'Orange County, M. Cahill, suite au verdict accusant Paul P. Edalat de fraude et de calomnie


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Audience des dommages-intérêts punitifs fixée au 22 août , suite au jugement stipulant qu'Edalat a fraudé les investisseurs de Pharma Pak, Inc., et délibérément formulé des diffamations contre M. Cahill

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Markham & Read annonce le versement de 600 000 dollars, sur décision de jury fédéral, à l'homme d'affaires d'Orange County, M. Cahill, suite au verdict accusant Paul P. Edalat de fraude et de calomnie

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Denterlein
Scott Farmelant/Jill Reilly
617 482 0042

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Basé à Boston, le cabinet juridique Markham & Read a annoncé aujourd'hui que dans l'affaire Bruce Cahill et. al. contre Paul Pejman Edalat et. al. (tribunal fédéral américain, affaire: 8:16-cv-00686), un jury fédéral a établi que M. Edalat avait délibérément agi de manière coercitive, frauduleuse ou malicieuse à l'encontre de M. Cahill, ancien CEO de Pharma Pak, Inc., qui affirmait que M. Edalat avait lancé une campagne de dénigrement à son égard sur les réseaux sociaux pendant une période d'une année.

Le jury a attribué un montant de 600 000 dollars en dommages-intérêts pour les préjudices subis par Cahill, et a jugé M. Edalat redevable de dommages-intérêts punitifs. Une audience se tiendra devant le tribunal de district américain du district central de Californie (division de Santa Ana) le 22 août pour déterminer le montant des dommages-intérêts punitifs.

Le jury a également jugé M. Edalat redevable de dommages-intérêts aux investisseurs de Pharma Pak, à savoir Greg Cullen, Ron Franco et Shane Scott.

"Nous sommes satisfaits de voir que le jury a envoyé un message clair à Paul Edalat, tout en soutenant pleinement Bruce Cahill et la bonne réputation qu'il inspire de longue date au sein de la communauté", déclare John J. Markham, avocat de M. Cahill et des investisseurs de Pharma Pak. "Le verdict et les dommages-intérêts qui en découleront sont la preuve indéniable que M. Cahill était dans son plein droit face aux actions peu scrupuleuses et aux diffamations de M. Edalat, tout comme d'autres personnes que le jury a considérées comme étant lésées par M. Edalat."

Durant le procès, Markham et l'avocate Bridget A. Zerner ont présenté des preuves et des témoignages indiquant que M. Edalat avait incité MM. Cahill, Cullen, Franco, Scott et d'autres investisseurs à investir plus de 4 millions de dollars dans Pharma Pak, en effectuant de nombreuses déclarations relatives à la valeur de l'entreprise, sa propriété intellectuelle, sa clientèle actuelle et la liste de clients potentiels.

Durant toute la procédure, les jurés ont entendu des preuves directes que M. Edalat, originaire d'Orange County, qui avait précédemment déclaré faillite en Californie du Sud (tribunal des faillites américain, affaire: 8:14-bk-14529-TA), qui avait été "définitivement interdit (?) de fabriquer, préparer, emballer, étiqueter, détenir ou distribuer, directement ou indirectement, tout complément alimentaire" par le tribunal de district américain du district central de Californie (tribunal fédéral américain, affaire: SACV 14-01759-JLS) en 2014, avait utilisé de l'argent d'investissements pour payer des dettes de jeu à Las Vegas et d'autres dépenses extravagantes. Les jurés ont également passé en revue de nombreuses publications faites par M. Edalat sur les réseaux sociaux concernant la vie privée de l'ancien CEO de Pharma Pak, qui constituent la base des revendications de M. Cahill devant le tribunal, affirmant que M. Edalat avait cherché à le diffamer après qu'une plainte pour litige ait été déposée auprès du tribunal fédéral.

En outre, le jury a jugé que la codéfenderesse de M. Edalat, Olivia Karpinski, est redevable de 11 000 dollars en dommages-intérêts à M. Cahill, pour les diffamations qu'elle avait formulées sur les réseaux sociaux.

Durant le procès, le jury a entendu le témoignage d'un officier de police d'Irvine, qui a discrédité Mme Karpinski dans sa tentative de passer pour une victime d'agression sexuelle. Mme Karpinski s'était rendue au poste de police d'Irvine le 13 octobre 2016, le jour précédent sa déposition dans l'affaire, et a déposé une plainte (archive #16-15720 de l'Irvine CA Police Department) affirmant qu'elle était victime de "harcèlement", avant de retourner au poste deux heures plus tard pour déposer une plainte supplémentaire pour agression sexuelle. D'après le rapport, l'officier a expliqué que les éléments de sa déposition ne constituaient pas une agression sexuelle, et lui a demandé pourquoi elle avait attendu 11 mois avant de signaler ces allégations. Mme Karpinski avait précédemment publié de fausses accusations pour agression sexuelle contre M. Cahill sur son compte Instagram, sur lequel elles sont restées accessibles au public pendant plusieurs mois.

"En tant qu'entrepreneur et philanthrope de la Californie du Sud depuis plus de 30 ans, je suis reconnaissant que le jury a reconnu ma réputation d'homme d'affaires honnête et accompli dans des secteurs tels que la technologie, les semi-conducteurs, la publication et l'immobilier", déclare M. Cahill. "Je suis également satisfait que les jurés ont reconnu les dommages causés par le grand nombre de fausses accusations et de diffamations faites à mon encontre par Paul Edalat."

Le texte du communiqué issu d'une traduction ne doit d'aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d'origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

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