Genes'ink Rectificatif sur CP : Encres conductrices:3 pôles de compétitivités labellisent Genes'ink
Madame, Monsieur
Une erreur a été commise lors de la saisie du communiqué diffusé hier, au lieu de :
"Une start-up sera créée au 2e semestre 2011, conjointement par les sociétés Genes'Ink et Ardeje, un spécialiste des solutions d'impression jet d'encre".
le texte correct est :
Dans le cadre de l’industrialisation du projet Solarjet une start-up sera créée au 2e semestre 2011, conjointement par les sociétés Genes'Ink et Ardeje (spécialiste des solutions d'impression jet d'encre).
En vous demandant de bien vouloir m'excuser pour cette erreur, je vous renvoie les éléments rectifiés bien cordialement, Stéphane Dufour-Loriolle (0603101943)
Communiqué de presse du 30/05/11
Encres conductrices : 3 pôles de compétitivités labellisent Genes'ink
Genes'ink (Aix-en-Provence) créée en 2010 travaille à la pré-industrialisation d'encres conductrices et semi-conductrices ainsi qu'à celle d'encres hybrides photovoltaïques à base de nanoparticules. Deux projets (SFUMATO et MATHYSOL) dont elle est le partenaire viennent d'être labellisé par trois pôles de compétitivité (Cap Énergie, Pégase, Tenerdis). La technologie de cellules solaires organiques souples développée dans le cadre de ces projets labellisés pourra servir de source d'alimentation pour des objets électroniques portables afin d'accroître leur autonomie et de permettre la recharge de batteries. La flexibilité, la finesse, la légèreté et le très faible coût potentiel des cellules ainsi réalisées pourront ouvrir la voie à de nombreuses autres applications. Dans le cadre de l’industrialisation du projet Solarjet une start-up sera créée au 2e semestre 2011, conjointement par les sociétés Genes'Ink et Ardeje (spécialiste des solutions d'impression jet d'encre).
L'ENCRE CONDUCTIVE, L'ALTERNATIVE AU SILICIUM DANS LE PHOTOVOLTAÏQUE ET LE SEMI-CONDUCTEUR
L'entreprise hébergée en pépinière du pays d'Aix, à Meyreuil (13) conçoit des encres contenant un agencement nanoélectronique aux applications variées. Elle fait ainsi notamment - émerger la « quatrième génération du photovoltaïque, que rendent possible les nanotechnologies » ne craint pas d'affirmer Corinne Versini, l'aile commerciale et développeur de ce projet né dans un laboratoire du CNRS où l'a généré Jörg Ackermann, un chimiste allemand spécialiste du silicium. L'électronique imprimée rendue possible par le procédé Genes'ink élargit la palette d'applications à tous les supports souples et transparents. Avec ce procédé, les écrans informatiques déroulables ou semblant suspendus dans l'air ne sont plus une lubie de la science-fiction, mais se matérialisent dans le réel.
Avec les encres composées à propriétés photoélectriques produites par Genes'ink, on est désormais loin des cellules photovoltaïques à base de silicium, et on combine les propriétés des technologies de couches minces avec les cellules PV organiques en y ajoutant les possibilités infinies des nanoparticules. « Nous parlons de technologie hybride pour définir ces encres conductives, qui permettent d'imprimer utile » poursuit Corinne Versini.
Déposées en couches fines de moins de 20 nanomètres, ces encres composées d'un oxyde métallique et d'une chaîne carbonée produits par Genes'ink, contiennent une infinité de cellules conductives. Les applications sont multiples, tant dans le photovoltaïque pur que dans le tag RFID : alimentation électrique de petits objets tels que des téléphones portables ou des casques radio autonomes, mais aussi création d'étiquettes porteuses d'un GPS, ou de tickets divers détectables à distance et infalsifiables...ou tout simplement la création d'enseignes productrices d'énergie. Agencée sur l'enveloppe d'un ballon géostationnaire, l'alliance tag RFID-encre PV pourrait même jouer le rôle d'antennes microscopiques assurant de nombreuses communications entre terre et ciel.
NEUTRE POUR L'ENVIRONNEMENT
Plus encore, Genes'ink a démontré que les éléments qu'elle produit ne se diffusaient pas dans l'environnement. C'est la conclusion d'un laboratoire public de toxicologie, le Centre Européen de Recherche et d'Enseignement des Géosciences de l'Environnement (Cerege, Aix-en-Provence) qui a conclu à l'absence de toxicité du produit. « Nos produits sont cent fois plus stables et plus durables que leurs équivalents organiques, leur extrême petitesse favorise leur adhésion aux surfaces qui les portent » ajoute Corinne Versini. Soumises aux forces de Van der Waals, les nanoparticules de Genes'ink sont aussi accrochées à leur support qu'un lézard Gecko à son mur !
À PROPOS DE GENES'INK
En juin 2010, les créateurs de l'entreprise, alors seulement en projet, emportaient les 300 000 € du prix décerné par le Concours National d'Aide à la Création d'Entreprises Technologiques Innovantes (Cnaceti), attribué par le Ministère de la Recherche. Octobre 2010 le prix de la « technologie la plus porteuse de ruptures » que décerne le Prides (Pôle Régionale d'Innovation et de Développement Economique et Solidaire) Solutions Communicantes Sécurisées. Elle devrait accueillir l'Université de la Méditerranée dans son capital à hauteur de 15%, l'équipe emploie actuellement onze personnes et multiplie les prospects dans le domaine du tag RFID, et de la conception-fabrication d'imprimantes.
Pièces jointes: Communiqué au format Word - La Tribune Article du 27/05/11Contact Presse : Genes'ink : Corinne Versini : 0 442 612 830 ou 0603 909 732 ou Stephane Dufour-Loriolle 0603101943
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