Un nouveau sondage Visa révèle que les sociétés mondiales projettent de réduire l'importance des chèques et d'augmenter l'utilisation des cartes commerciales

Visa Inc. (NYSE : V) a publié aujourd’hui les résultats d’un sondage mondial montrant que 74 % des répondants étaient satisfaits de leur programme de carte de paiement commerciale. Actuellement, 50 % des répondants utilisent les cartes de paiement commerciales pour effectuer leurs paiements dans le cadre de leur stratégie de gestion de trésorerie dans son ensemble. Dans les 12 à 18 mois à venir, 52 % des répondants au sondage entendent utiliser moins de chèques et 45 % prévoient d’augmenter leur utilisation des programmes de cartes commerciales.

Les répondants au sondage comptent sur les cartes de paiement commerciales pour réduire les frais de traitement et d’administration (70 %) ; éliminer les factures sur papier (62 %) ; faciliter les créances et paiements (57 %) ; et fournir des données transactionnelles permettant d’améliorer leur pouvoir de négociation des prix (46 %). Les sociétés utilisent aussi les programmes de cartes commerciales pour augmenter la visibilité des situations de trésorerie et en améliorer les prévisions.

« Nous sommes vraiment satisfaits de voir le niveau de satisfaction rapporté de même que l’intention d’augmenter l’utilisation des programmes de cartes commerciales », déclare Darren Parslow, directeur des solutions commerciales mondiales de Visa Inc. « Les cartes commerciales font partie intrinsèque d’une stratégie de gestion de trésorerie effective qui fournit une plus grande transparence, des contrôles financiers et des outils de production de rapports d’informations robustes. »

Actuellement, aux États-Unis, 58 % des répondants utilisent des programmes de cartes commerciales, le Canada suivant de près avec 54 %. Quarante-six pour cent des répondants d’Asie-Pacifique (AP) utilisent des programmes de cartes commerciales, alors que 44 % de leurs homologues d’Europe Centrale et de l’Est, du Moyen-Orient et de l’Afrique (CEMEA), ainsi que 38 % et 30 % respectivement d’Europe et d’Amérique Latine et des Caraïbes (ALC) comptent sur les cartes. Dans toutes les régions, les sociétés entendent faire une plus grande utilisation des programmes de cartes commerciales dans les 12 à 18 mois à venir : Soixante pour cent des répondants projettent de faire une plus grande utilisation de leur carte dans les pays CEMEA, 48 % aux États-Unis, 42 % en Europe et ALC, 41 % au Canada, et 38 % en AP.

Importance des processus ERP

En général, 65 % des sociétés disent qu’utiliser à la fois l’approvisionnement électronique et les processus ERP est important pour leur organisation. Quarante-cinq pour cent citent la réduction des frais, résultat de la rationalisation du traitement, comme étant la raison principale de leur intégration. De plus, les sociétés croient que l’intégration ERP leur offre :

• l’accès à des données de transaction pour une analyse des dépenses
• l’utilisation des données transactionnelles des cartes pour une meilleure négociation des prix
• une meilleure conformité aux politiques et procédures commerciales et
• un rapprochement automatique des états des dépenses

Impacts positifs sur l’efficacité de la gestion du flux de trésorerie

Les répondants ont relevé que la situation et la prévision de trésorerie étaient les étapes les moins efficaces de leurs processus de gestion de trésorerie actuelle. Le manque de processus opérationnels rationalisés et les capacités inadéquates d’informations et de production de rapports ont également été cités comme problèmes d’efficacité. Cependant, la majorité des répondants disent avoir amélioré leur programme de gestion de trésorerie globale cette dernière année, 68 % de sociétés identifiant leur programme de trésorerie comme étant efficace. Globalement, les sociétés ont trouvé que les programmes de cartes commerciales offraient des gains d’efficacité qui amélioraient leur capacité de gestion.

Parmi les autres perfectionnements apportés par les programmes de cartes de paiement commerciales, on compte :

• Accès à de nouveaux niveaux de données
• Visibilité de la situation de trésorerie
• Aide à prévoir les besoins de trésorerie future
• Validation de la mise en application des logiciels de gestion financière

Le sondage mondial de gestion de trésorerie de Visa : objectifs et méthodologie

Le sondage mondial de gestion de trésorerie de Visa examine l’utilisation des programmes de cartes commerciales sur une base mondiale. Le sondage a été mis en œuvre par Survey.com, une firme qui se spécialise en recherche mercantile Internet, et a sondé 800 cadres financiers, trésoriers et gestionnaires de trésorerie de 11 pays répartis sur cinq régions géographiques, dont l’Amérique du Nord, l’Asie-Pacifique (AP), l’Europe Centrale et de l’Est, le Moyen Orient et l’Afrique (CEMEA) et l’Europe et l’Amérique Latine et les Caraïbes (ALC). La majorité des répondants des États-Unis travaillaient pour des sociétés dont le chiffre d’affaires était supérieur à 500 millions de dollars américains par an. Dans les autres régions, la majorité des répondants étaient employés par des sociétés de plus de 100 employés et dont les ventes annuelles s’élevaient à au moins 25 millions de dollars américains par an.

Notes aux rédacteurs:

À propos de Visa

Visa Inc. exploite le plus grand réseau au monde de paiements électroniques au détail offrant des services de traitement et des plateformes de produits de paiement. Celles-ci comprennent les cartes de crédit à la consommation, de débit, prépayées et commerciales, offertes sous les marques Visa, Visa Electron, Interlink et PLUS. La façon dont Visa est acceptée dans le monde est sans égal, et Visa/PLUS est un des plus grands réseaux de distributeurs automatiques de billets dans le monde, et offre l’accès au liquide en devises locales dans plus de 170 pays. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.corporate.visa.com.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.