EADS améliore significativement sa performance au premier trimestre
. EBIT de 198 millions d'euros au premier trimestre 2004.
. Hausse de 9 % du chiffre d'affaires à 6 milliards d'euros.
. Forte génération de trésorerie.
. Résultat net de 49 millions d'euros.
. Les CEOs : « Ces résultats confirment nos objectifs pour 2004, et augmentent
notre confiance dans la performance d'EADS et sa croissance à moyen terme ».
Amsterdam, 12 mai 2004 - EADS (symbole boursier : EAD), qui occupe le deuxième
rang mondial dans l'industrie aéronautique, spatiale et de défense, a fortement amélioré
sa performance financière au premier trimestre de l'exercice en cours. De janvier à mars
2004, la société a dégagé un EBIT* (résultat opérationnel avant amortissement des
écarts d'acquisition et éléments exceptionnels) de 198 millions d'euros, en hausse de
52 % par rapport au chiffre publié pour la même période en 2003 (130 millions d'euros).
Au cours de cette même période, le chiffre d'affaires a progressé de 9 %, pour atteindre
6 milliards d'euros. C'est mercredi qu'EADS a rendu publics ses résultats du premier
trimestre, à l'occasion du salon international de l'aéronautique et de l'espace de Berlin
(ILA).
L'EBIT* progresse dans toutes les divisions du Groupe, à l'exception de la division
Aéronautique. L'exécution des contrats de défense et le redressement de la division
Espace se déroulent comme prévu. Les efforts de recherche et de développement
autofinancés se sont poursuivis au même rythme, notamment pour le programme A380.
Les CEOs: « Ces résultats confirment nos objectifs pour 2004 »
Philippe Camus et Rainer Hertrich, CEOs d'EADS, ont ainsi déclaré : « Les résultats du
premier trimestre confortent nos objectifs pour l'exercice en cours. A moyen terme, nous
sommes de plus en plus confiants dans nos perspectives de croissance car nous
observons une amélioration du marché de l'aviation civile, qui devrait s'accélérer en
2005. Par ailleurs, nos activités de défense continueront d'accroître leur contribution.
Nous jouissons d'une position exceptionnelle pour tirer pleinement parti de la reprise
attendue. EADS est en bonne voie pour atteindre de nouveaux horizons, porté par les
avancées majeures enregistrées par l'ensemble de nos activités. Ainsi, l'assemblage
final de l'A380 a démarré ; les activités de défense récoltent les fruits des synergies
entre les différentes unités opérationnelles au sein du Groupe et de nos alliances transatlantiques ; la division Espace est en passe de devenir une activité rentable, qui contribue à notre portefeuille. »
Augmentation de la position de trésorerie nette
La trésorerie générée est essentiellement issue de la hausse de l'EBIT* et de la
réduction du besoin en fonds de roulement. La trésorerie disponible avant financements
clients s'est envolée, à 419 millions d'euros contre - 309 millions d'euros au
premier trimestre 2003. La position de trésorerie nette est ainsi passée de 3,1 milliards
d'euros à fin 2003 à 3,4 milliards d'euros au 31 mars 2004.
Un résultat net de 49 millions d'euros
EADS enregistre un résultat net de 49 millions d'euros au premier trimestre 2004 (contre
28 millions d'euros, sur une base comparable, pour la même période en 2003), soit
0,06 euro par action. A compter du 1 er janvier 2004, EADS a anticipé l'application de la
norme comptable internationale IFRS 3 : les écarts d'acquisition ne font plus l'objet,
dans les comptes d'EADS, d'un amortissement linéaire.
Le chiffre d'affaires d'EADS a progressé de 9 %, pour s'établir à 6 milliards d'euros sur
les trois premiers mois de l'année, toutes les divisions à l'exception de l'Aéronautique
s'inscrivant à la hausse. A taux de change constant entre l'euro et le dollar, la croissance
du chiffre d'affaires aurait été de l'ordre de 15 %.
Les prises de commandes d'EADS se sont élevées à 3,4 milliards d'euros au premier
trimestre 2004, contre 5,4 milliards d'euros sur la même période de l'année précédente.
Ce repli est essentiellement imputable à la baisse des commandes d'Airbus. Airbus
espère finaliser plusieurs campagnes commerciales actuellement en cours et table sur
250 nouvelles commandes environ pour l'ensemble de l'année.
Le carnet de commandes d'EADS a atteint un total de 178,8 milliards d'euros à fin mars.
Il reste le plus fourni de toute l'industrie aéronautique, spatiale et de défense à l'échelle
mondiale.
A fin mars 2004, les effectifs d'EADS s'élevaient à 109 869 personnes, contre
109 135 employés à fin 2003.
Analyse par division
Les activités militaires et para-publiques d'EADS, qui relèvent principalement des
divisions Aéronautique, Systèmes de Défense et de Sécurité, ainsi que Avions de
Transport Militaire, sont soumises à de fortes variations saisonnières. En général, on constate une hausse significative de leur chiffre d'affaires et de leurs résultats en fin
d'année.
La division Airbus enregistre une hausse soutenue de son EBIT* au premier trimestre,
qui passe de 166 millions d'euros au premier trimestre 2003 à 224 millions d'euros pour
la période considérée. La marge EBIT* progresse de 4,4 % à 5,4 % et augmente de
16,2 % à 16,7 % avant frais de recherche et développement. De son côté, le chiffre
d'affaires gagne 9 %, à 4 126 millions d'euros. Cette amélioration est tirée par une
répartition plus favorable des modèles d'avions livrés et par un total de 67 appareils
livrés, contre 65 pour la même période en 2003. Le carnet de commandes d'Airbus
atteint 140,9 milliards d'euros à fin mars 2004, ce qui représente 1397 avions. L'encours
brut de financement client a été légèrement réduit grâce au maintien d'une politique
rigoureuse en la matière.
La division Avions de Transport Militaire enregistre un EBIT* de - 8 millions
d'euros au premier trimestre 2004 (- 11 millions d'euros pour les trois premiers mois de
2003). Son chiffre d'affaires progresse de 5 %, à 101 millions d'euros. Son carnet de
commandes s'élève à 20 milliards d'euros à la fin du trimestre considéré.
L'EBIT* de la division Aéronautique s'établit à 10 millions d'euros à fin mars 2004, par
rapport aux 16 millions d'euros du premier trimestre 2003. Malgré le maintien d'une
performance soutenue de la part d'Eurocopter, l'EBIT* de la division Aéronautique a subi
l'impact d'une charge de restructuration de 5 millions d'euros chez EADS Sogerma
Service. Le chiffre d'affaires de la division a diminué de 6 %, à 645 millions d'euros,
sous l'effet du ralentissement des activités de maintenance et services dans l'aviation
civile. Le carnet de commandes s'établit à 10 milliards d'euros au 31 mars 2004.
La perte opérationnelle (EBIT* négatif) de la division Espace s'est réduite, passant de -21
millions d'euros au premier trimestre 2003 à -11 millions d'euros pour les trois
premiers mois de 2004. Le chiffre d'affaires augmente de 13 %, à 457 millions d'euros,
grâce à la montée en puissance des services liés à Paradigm. Le carnet de commandes
pèse 8,1 milliards d'euros en fin de trimestre.
L'EBIT* de la division Systèmes de Défense et de Sécurité s'est légèrement amélioré
au premier trimestre par rapport à l'exercice précédent. Il s'établit à - 51 millions d'euros
contre - 54 millions au premier trimestre 2003. Le chiffre d'affaires de la division a
enregistré une progression de 15 %, à 932 millions d'euros, en grande partie sous
l'impulsion de l'activité de ses unités opérationnelles Aviation Militaire et Missiles. Le
carnet de commandes est passé à 15 milliards d'euros au 31 mars 2004.
* EADS utilise l'EBIT (résultat opérationnel) avant amortissement des écarts d'acquisition et éléments
exceptionnels comme indicateur principal de sa performance économique. Par « éléments exceptionnels », on entend
des produits ou des charges non récurrents, tels que l'amortissement des ajustements de valeur de certains actifs au
moment de la fusion EADS, ainsi que les charges de dépréciation. Ce terme ne correspond pas à la définition des
éléments extraordinaires au titre des IFRS.
EADS - Résultats du premier trimestre (T1) 2004
| Groupe EADS | T1 2004 | T1 2003 | Variation |
| Chiffre d’affaires, en millions | 6 031 | 5 520 | + 9% |
| Dont activités de défense, en milliards | 1,1 | 1,0 | + 10% |
| EBITDA(1), en millions | 526 | 389 | + 35% |
| EBIT(2)*, en millions | 198 | 130 | + 52% |
| Frais de recherche et développement, en millions | 535 | 528 | + 1% |
| Résultat net(3), en millions | 49 | 28 | + 75% |
| Bénéfice par action (BPA) | 0,06 | 0,03 | + 0,03 E |
| Flux de trésorerie disponible avant financements des | |||
| ventes, en millions | 419 | -309 | - |
| Prises de commandes, en millions | 3 411 | 5 378 | -37% |
1) Résultat avant éléments financiers, impôts, dépréciation, amortissement et éléments exceptionnels
2) Résultat avant éléments financiers et impôts, amortissement des écarts d'acquisition et éléments exceptionnels
3) Le résultat net est désormais comptabilisé conformément à la norme IFRS 3, à savoir que les écarts d'acquisition ne sont plus amortis.
Le résultat net du 1 er trimestre 2003 publié précédemment s'élevait à - 93 millions d'euros, après amortissement des écarts d'acquisition.
| 31 mars 04 | 31 déc 03 | Variation | |
| Carnet de commandes, en millions | 178 759 | 179 280 | +/- 0 |
| Dont activités de défense, en milliards | 45,6 | 45,7 | +/- 0 |
| Position de trésorerie nette, en millions | 3 444 | 3 105 | + 11% |
| Effectifs | 109 869 | 109 135 | + 1% |
| par Division | EBIT(2) | Chiffre d'affaires | ||||
| (En millions d’euros) | T1 2004 | T1 2003 | Variation | T1 2004 | T1 2003 | Variation |
| Airbus | 224 | 166 | + 35% | 4 126 | 3 775 | + 9% |
| Avions de Transport Militaire | -8 | -11 | + 27% | 101 | 96 | + 5% |
| Aéronautique (4) | 10 | 16 | -38% | 645 | 686 | -6% |
| Espace | -11 | -21 | + 48% | 457 | 403 | + 13% |
| Systèmes de Défense et de | ||||||
| Sécurité (4) | -51 | -54 | + 6% | 932 | 813 | + 15% |
| Siège/Consolidation | 34 | 34 | - | -230 | -253 | - |
| Total | 198 | 130 | + 52% | 6 031 | 5 520 | + 9% |
| par Division | Prises de commandes | Carnet de commandes | ||||
| (En millions d’euros) | T1 2004 | T1 2003 | Variation | 31/03/2004 | 31/12/2003 | Variation |
| Airbus (3) | 1 068 | 3 416 | -69% | 140 911 | 141 836 | -1% |
| Avions de Transport Militaire | 100 | 122 | -18% | 19 980 | 20 007 | +/- 0 |
| Aéronautique (4) | 843 | 706 | + 19% | 10 021 | 9 818 | + 2% |
| Espace | 238 | 341 | -30% | 8 083 | 7 888 | + 2% |
| Systèmes de Défense et de Sécurité (4) | 1 359 | 970 | + 40% | 14 976 | 14 283 | + 5% |
| Siège/Consolidation | -197 | -177 | - | -15 212 | -14 552 | - |
| Total | 3 411 | 5 378 | -37% | 178 759 | 179 280 | +/- 0 |
2) Résultat avant éléments financiers et impôts, amortissement des écarts d'acquisition et éléments exceptionnels
3) Les chiffres relatifs aux prises de commandes et aux carnets de commandes s'entendent sur la base des prix catalogue.
4) Pour les divisions Aéronautique et Systèmes de Défense et de Sécurité, les chiffres du 1 er trimestre 2003 (EBIT*, chiffre d'affaires et prises de commandes) ont été ajustés afin de tenir compte de la nouvelle structure de chacune de ces divisions.
Perspectives
EADS confirme ses perspectives 2004 publiées le 8 mars 2004. La société prévoit un
EBIT* de 1,8 milliard d'euros, pour un chiffre d'affaires de 29 à 30 milliards d'euros, sur
la base d'un taux de change moyen de 1 euro = 1,20 USD. Certains signaux semblent
indiquer que la reprise du marché pourrait s'avérer plus solide que prévu ; ces
indications renforçent la confiance dans les hypothèses retenues pour les objectifs 2004.
Effets de l'accord des autorités fiscales européennes
Suite à un accord conclu entre les autorités fiscales européennes, la structure juridique
du groupe Airbus a été simplifiée. En avril 2004, le GIE Airbus, entité dont les comptes
sont libellés en dollars américains, a en particulier été fusionné dans Airbus SAS,
société dont les comptes sont libellés en euros.
Les effets comptables sur les actifs et les passifs concernés (y compris les écarts de
conversion reflétés dans les capitaux propres), provenant des opérations intervenues
avant le 1 er janvier 2004, n'ont pas encore été totalement évalués. Les états financiers
du premier trimestre n'incluent donc pas l'impact comptable correspondant qui pourrait
être significativement positif. EADS intégrera rétroactivement l'impact de cette
modification comptable lors de la publication de ses résultats es résultats du premier
semestre 2004.
Succès commerciaux : de janvier à début mai 2004
EADS a continué de développer ses activités de défense :
. En janvier 2004, le consortium AirTanker a été retenu et invité aux négociations
finales portant sur le programme FSTA (futur avion-citerne stratégique de la RAF).
EADS détient 40 % d'AirTanker, entité idéalement positionnée pour devenir le
partenaire industriel du ministère de la Défense britannique pour son programme de
13 milliards de livres Sterling portant sur un service d'avions ravitailleurs de
carburant en vol, pour une période de 27 ans. Ce projet pourrait être le plus grand
programme basé sur un financement privé jamais réalisé dans le domaine de la
défense.
. EADS CASA et Lockheed Martin ont signé un contrat de 87,4 millions de dollars qui
officialise la participation d'EADS CASA au programme IDS (Integrated Deepwater
System) des gardes-côtes américains, en février 2004. La valeur potentielle du
contrat, si toutes les options sont exercées, s'élève à 300 millions de dollars
américains.
. En avril, EADS a été choisi pour fournir aux forces de défense australiennes le
système MRTT (avion de ravitaillement en vol multi-rôle) A330. L'Australie s'est
portée acquéreuse de cinq A330 MRTT, l'avion-citerne le plus récent et offrant le
plus de capacités et de souplesse au monde.
. En avril 2004, l'OTAN a choisi le consortium industriel TIPS pour son système AGS
(Alliance Ground Surveillance). Pour remporter ce programme AGS de l'OTAN, EADS a mené un consortium avec cinq autres industriels majeurs.
Airbus a franchi des jalons importants du programme A380 :
. Le programme de développement et de construction de l'Airbus A380, le plus gros
avion de transport de passagers au monde, se poursuit suivant les prévisions. Ainsi
en mars 2004, le fuselage du premier A380 a pu être achevée à Hambourg. Le
premier vol d'essai de l'A380 est prévu pour 2005, les premières livraisons devant
intervenir à partir de 2006. Le carnet de commandes de l'A380 compte déjà 129
commandes fermes et 48 options.
. En avril 2004, la China Southern Airlines a conclu un contrat portant sur l'achat de
21 Airbus de la famille A320. Ce contrat fera de China Southern Airlines l'un des
plus gros clients de l'A320 sur la zone Chine et Asie.
Pour EADS, le début de l'année 2004 a également été marqué par plusieurs réussites
marquantes dans le secteur spatial :
. En mars, le satellite Eutelsat W3A, conçu et réalisé par EADS Astrium, a pu mener
à bien ses premières opérations depuis son orbite géostationnaire. Premier satellite
de la série Eurostar E3000, il fournira une large gamme de services commerciaux.
Neuf autres satellites de cette série sont en cours de production.
. Le 2 mars 2004, la fusée européenne Ariane 5 a lancé, depuis la base guyanaise
de Kourou, la sonde scientifique Rosetta, élaborée sous la conduite d'EADS
Astrium, qui a entamé un long voyage vers la comète Churyumov-Gerasimenko.
. Le 28 avril 2004, l'opérateur de satellites canadien Telesat a choisi EADS Astrium
pour construire son nouveau satellite Anik F3.
A propos d'EADS :
Leader mondial dans les domaines de l'aérospatial et de la défense, EADS a enregistré
un chiffre d'affaires de 30,1 milliards d'euros en 2003 et emploie plus de 109 000
personnes à travers le monde. Le Groupe EADS comprend notamment le constructeur
d'avions Airbus, le leader mondial dans le domaine des hélicoptères avec Eurocopter et
la joint-venture MBDA, deuxième missilier au monde. EADS est également le partenaire
majeur du consortium Eurofighter, le maître d'oeuvre du lanceur d'Ariane, l'architecte de
l'avion de transport militaire A400M et le premier partenaire industriel du système de
navigation satellite européen Galileo.
***
Mentions de préservation :
Certaines des déclarations contenues dans le présent communiqué de presse ne correspondent pas à des faits
historiquement avérés mais à des prévisions futures ou à des estimations basées sur l'opinion des dirigeants. Ces
déclarations prévisionnelles reflètent ce que sont les points de vue et les hypothèses d'EADS à la date où elles sont faites
: elles comprennent donc une part de risques et d'incertitudes, connus et inconnus, qui pourraient conduire à ce que les
résultats réels, la performance ou les événements diffèrent matériellement de ceux qui sont exprimés, de façon expresse
ou implicite, dans ces déclarations.
Dans le cadre du présent communiqué, les termes "anticiper", "estimer", "prévoir", "pouvoir", "projeter", et autres verbes
similaires ne sont utilisés que pour formuler des prévisions.
Ces informations prévisionnelles reposent sur un certain nombre d'hypothèses, concernant notamment mais pas
exclusivement la demande de produits et services EADS, la taille des marchés actuels et futurs de ces produits et
services, les performances internes, le financement clients, les performances des clients, fournisseurs et sous-traitants,
les négociations de contrats ou le succès de certaines campagnes de vente en cours.
Les déclarations prévisionnelles sont sujettes à des incertitudes et les résultats et tendances effectifs futurs pourraient
différer matériellement de ces prévisions, en fonction d'un certain nombre de facteurs, et notamment sans que cela soit
limité : conditions macroéconomiques, conditions de travail et ceci notamment en Europe, en Amérique du Nord et en
Asie ; risques juridiques, financiers et gouvernementaux liés aux transactions internationales ; caractère cyclique de
certaines activités d'EADS ; volatilité du marché de certains produits et services ; risques liés aux performances des
produits ; conflits du travail ; facteurs pouvant conduire à des perturbations importantes et durables dans le secteur du
transport aérien mondial ; résultats des processus politiques et juridiques engagés, et notamment des incertitudes
entourant le financement de certains programmes par les Etats ; consolidation industrielle des concurrents dans le
secteur aérospatial ; coût de développement et succès commercial des nouveaux produits ; fluctuation des taux de
change et des taux d'intérêt ; fluctuations entre l'euro et le dollar américain et d'autres devises ; litiges en justice et autres
risques et incertitudes économiques, politiques et technologiques.
Des informations complémentaires concernant ces différents facteurs sont fournies dans le "document de référence" de la
société daté du 1er avril 2004.
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