Le directeur général de Nanobiotix, Dr. Laurent Lévy, est élu co-président de la Plateforme française technologique de nanomédecine (FTPN)

Nanobiotix, une société émergente spécialisée dans la nanomédecine et le traitement anticancéreux, a annoncé aujourd'hui que son directeur général, Laurent Lévy, Ph.D., a été élu co-président de la Plateforme française technologique de nanomédecine (FTPN). Sa nomination prend effet immédiatement.

La FTPN organise les communications, la collaboration et les réunions entre les parties prenantes de la communauté de la nanomédecine basées en France, telles que les entreprises, les instituts de recherche, les universités, les hôpitaux, et les associations de patients, et les représentants des ministères, les groupes régionaux, les agences gouvernementales et les organismes de recherche.

"Je suis honoré d'assumer les fonctions de co-président de la FTPN," a déclaré Dr. Lévy. "La mission de la FTPN est d'aider à accélérer le développement de la nanomédecine dans la pratique clinique au bénéfice des patients. A l'avenir, ce domaine en pleine évolution constituera un excellent défi que les membres dévoués de notre conseil sont prêts à relever."

La FTPN est l'équivalent de la Plateforme européenne technologique de la nanomédecine (ETPN). Son rôle consiste à garantir une participation française aux projets collaboratifs européens. Menée par les besoins du marché et les développements industriels, la FTPN a pour objectifs : (1) d'identifier et de représenter les parties prenantes ; (2) de soutenir les priorités et les initiatives en matière de R&D industriels grâce à un lien solide et à un travail collaboratif avec la recherche axée sur le public ; (3) de permettre l'émergence de projets innovants conformément aux initiatives nationales et locales ; d'initier le dialogue avec les associations de patients et le grand public et de les informer ; (4) de relier et de promouvoir les travaux entre les agences réglementaires et les parties prenantes de la nanomédecime. Le conseil de direction a pour co-présidents : Le Dr. Lévy et Gérard Mathis, CSO, Cis-Bio Patrice Marche représentant l'INSERM et le CNRS et Jean-Pierre Benoit représentant la recherche clinique ; Patrick Boisseau, membre exécutif du conseil de la Plateforme européenne technologique de la nanomédecine ; et, Pierre-Noël Lirsac, représentant français du groupe miroir de la Plateforme européenne technologique de la nanomédecine¹.

La nanomédicine² est l'application de la nanotechnologie au secteur des soins de santés en vue d'obtenir des progrès. Elle exploite les propriétés physiques, chimiques et biologiques améliorées et souvent originales de matériaux à l'échelle du nanomètre. La nanomédecine a le potentiel de permettre une détection précoce et une prévention, et d'améliorer essentiellement le diagnostique, le traitement et le suivi des maladies.

¹ Représentant officiel des Etats membres et des Etats membres associés de l'UE.

² Source : ETPN, Strategic Research Agenda, Novembre 2006.

A PROPOS DE NANOBIOTIX

Nanobiotix est une société émergente spécialisée dans la nanomédecine qui associe les avancées spectaculaires de la nanotechnologie et de la biologie moléculaire pour développer — une plateforme technologique prévue pour être "activée "et " désactivée " à l'extérieur du corps dans le but de traiter sélectivement une variété de cancers de manière sûre et non invasive. L'utilisation de nanoXray est destinée à résoudre le plus important désavantage de la radiothérapie : la destruction de tissu sain et ses effets secondaires délétères ultérieurs lorsqu'une dose élevée de rayons X s'impose. Au coeur d'une nanoparticule nano Xray se trouve une substance inactive et inerte —pas un médicament —qui peut par la suite être activée afin d'augmenter localement (intra-tumeur) la dose de rayons X, un procédé qui doit entraîner une efficacité plus élevée. Après que les nanoparticules nanoXray s'accumulent dans les tissus cibles, un rayon X standard est appliqué dans le but de produire un effet thérapeutique local, conçu pour détruire uniquement les cellules tumorales ciblées. Ce mécanisme suggère un contrôle total de l'effet thérapeutique recherché.

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